Sommaire

  • Des COP à la RSE, la face obscure des indicateurs environnementaux en entreprise

    Notre maison brûle et nous, nous passons notre temps à mesurer notre impact environnemental. Dans toutes les organisations, publiques comme privés, « ce qui ne se mesure pas, ne s’améliore pas ». La mise en place de démarches pour lutter contre le … Continuer la lecture →

  • Petite histoire des Achats au pays de l’innovation

    La fonction Achats est née de l’innovation. Le premier livre qui lui a été consacré, en 1887, portait sur son importance pour le développement du chemin de fer : the handling of railway supplies. Mais, la fonction Achats est longtemps … Continuer la lecture →

  • Se préparer à l’incertain en s’inspirant des limites du RETEX dans les armées

    Le RETEX (ou « retour d’expérience ») est un dispositif utilisé au sein des mondes militaire et économique dans une optique d’amélioration continue des opérations. Il consiste à évaluer de manière collective le déroulement et les résultats d’un projet – une opération, … Continuer la lecture →

  • Le value-based procurement – une approche pour des Achats orientés valeur

    Le value-based procurement offre de nouvelles perspectives pour les directions achats souhaitant relever les défis actuels de manière innovante et responsable. Continuer la lecture →

  • Un test rapide pour identifier si votre achat public est innovant

    En quelques questions, il est possible de savoir si votre achat peut rentrer dans le dispositif défini par l’article R. 2122-9-1 du code de la commande publique – et peut ainsi déroger aux obligations de publication et de mise en … Continuer la lecture →

  • Des délais de paiement respectés grâce à l’intelligence artificielle

    Réponses artificielles au problème réel des délais de paiement non-respectés – échanges avec l’IA ChatPGT Continuer la lecture →

  • 0,175% est le rapport entre les amendes pour retard de paiement et les revenus tirés de ces retards

    Ne pas payer ses fournisseurs rapporte 9 milliards d’euros par an aux grands groupes, mais leur coûte potentiellement beaucoup plus Les priorités données à la réduction des coûts et à l’amélioration de la trésorerie, observables au sein de nombreuses entreprises … Continuer la lecture →

  • Les crises successives d’approvisionnement, conséquence d’un manque d’intelligence économique dans les Directions Achats ?

    Opérations pompiers, arrêts de chaînes de fabrication, suspensions de livraisons : les acheteurs sont mis à rude épreuve. A la crise de la Covid ont succédé celles des semi-conducteurs, de l’Ukraine, de l’énergie… S’assurer de la sécurisation des approvisionnements est … Continuer la lecture →

  • Quelle valeur pour le Partenariat d’Innovation ? une méthode pour l’achat public européen

    Afin de maximiser l’engagement des fournisseurs innovants dans des projets d’innovation avec des acteurs publics, la Commission Européenne a créé en 2014 le Partenariat d’Innovation. Ceui-ci permet, dans la même procédure, d’acheter à la fois le développement d’un nouveau produit/services … Continuer la lecture →

  • Quelles soft skills mobiliser pour (se) transformer ?

    « La quatrième leçon de cette pandémie, à mes yeux, c’est que nous avons assisté à une extraordinaire accélération de l’innovation. […] Si nous nous retrouvons hors de l’innovation, on peut perdre énormément. » Lorsqu’il présente le plan France 2030 en octobre … Continuer la lecture →

  • Pour être compétitif, il faut de la confiance, plus encore que des subventions

    Jusqu’en 2022, 100 milliards d’euros d’argent public seront engagés dans le cadre du plan de relance. Les objectifs sont la modernisation de l’industrie, le développement de sa compétitivité, la relocalisation… S’il va dans le bon sens, le plan laisse de … Continuer la lecture →

  • La confiance inter-entreprises

    Qu’est-ce que la confiance dans le BtoB – une entrée du dictionnaire filmé du management proposé par la FNEGE. Qui permet de répondre ensuite à la question de comment construire un climat de confiance avec son client / son fournisseur. Puis … Continuer la lecture →

  • Pour innover, il faut la jouer collectif

    Dans le sens commun, les grandes transformations comme les innovations apparaissent comme portées par un individu hors du commun : des hommes providentiels en politique comme Charles De Gaulle, Jeanne d’Arc ou Angela Merkel, des entrepreneurs schumpéteriens tels Elon Musk, Bill … Continuer la lecture →

  • Prix spécial du jury pour « Co-innovation dynamics » aux Plumes des Achats 2021

     « Co-innovation dynamics – The Management of Client–Supplier Interactions for Open Innovation » a été primé aux Plumes des Achats 2021. Ce livre, publié en 2019 et disponible également en français, est tiré de la thèse de doctorat « Approche relationnelle … Continuer la lecture →

  • Qu’est-ce que les Achats

    L’entrée « Achats » au dictionnaire filmé du management par la FNEGE

  • Un manager des Achats Kaizen

    Dans les achats, la méthode Kaizen est bien connue. C’est une approche d’origine japonaise de management de l’amélioration continue de la qualité. Si elle s’applique avant tout à des processus industriels où elle a fait et continue de faire ses … Continuer la lecture →

  • Qu’est-ce l’Open Innovation

    Une contribution au dictionnaire filmé du management par la FNEGE L’open innovation désigne un processus d’innovation déconfiné où l’innovation dépasse les frontières organisationnelles et où les flux d’innovation, de connaissances, de brevets, d’idées nouvelles entre l’externe et l’interne sont gérés … Continuer la lecture →

  • Une analyse du CPO survey Deloitte 2021

    L’étude annuelle de Deloitte auprès des directeurs achats reste un must en matière de baromètre de la fonction achats et de son évolution. En s’intéressant à un étage constant de la population achats et en lui offrant l’anonymat de ses … Continuer la lecture →

  • « Collaborer pour innover » reçoit le Prix de l’ouvrage Achat francophone 2020

    Dans le cadre de la cérémonie de la « Plume des achats », la remise des prix littéraires dédiés à la fonction achats, le Prix de l’ouvrage Achat francophone 2020 a été attribué au livre « Collaborer pour innover – … Continuer la lecture →

  • Former les acheteurs aux compétences de demain… et d’aujourd’hui

    Pensée analytique et innovation, capacité d’apprentissage, résolution de problèmes complexes forment les top 3 des compétences les plus demandées pour 2025 d’après le Forum Economique Mondial (Future of Jobs Survey 2020), la première et la troisième étaient déjà dans les … Continuer la lecture →

  • Les Achats stratèges passent par l’innovation

    Un échange avec Jean-Philippe Denis sur les nouveaux rôles des Achats dans les organisations, les nouveaux profils et leurs impacts sur la performance des organisations mais aussi des écosystèmes. Une nouvelle facette de l’Open Innovation par les acheteurs. Des insights … Continuer la lecture →

  • Les Achats et l’Entreprise Curieuse

    et pour faire le tour de l’entreprise curieuse et de ses multiples facettes, je vous invite à découvrir les autres échanges du podcast sur l’entreprise curieuse

  • Les communautés sont la clef pour s’ouvrir vers l’extérieur de l’entreprise

    « Constituer une communauté de pratique en interne donne souvent la clé sur l’externe. Les collaborateurs qui ont le goût, l’appétence, l’envie pour l’innovation se nourrissent d’expertises très diverses. Ils échangent entre eux en interne, développant ainsi un réseau maison, mais … Continuer la lecture →

  • Protégé : Quel contrat pour coinnover

    Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.

  • Collaborer pour innover

    Mon livre « Collaborer pour innover – le management stratégique des ressources externes » vient de paraître aux Edition De Boeck Supérieur. C’est un manuel pratique de gestion de l’innovation collaborative. Il met en évidence les compétences individuelles, organisationnelles et inter-organisationnelles, ainsi que … Continuer la lecture →

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    Pour un manager Open Innovation, il n’est pas une semaine qui offre de multiples opportunités d’un événement externe de rencontre avec des start-ups et autres organisations innovantes, d’ateliers d’échanges de bonnes pratiques, de concours de pitchs, de salons, de visites … Continuer la lecture →

  • Chasser la start-up – un travail d’équipe

    Les start-ups sont dans les écosystèmes des grands groupes une source importante de renouvellement, à la fois par les nouvelles technologies et manières de faire qu’elles expérimentent et par l’inspiration qu’elles génèrent pour les entreprises plus anciennes et établies. Les … Continuer la lecture →

  • Partager le gâteau de l’Open Innovation

    Dans un projet d’Open Innovation, au moment de définir les règles de partage du gâteau de l’innovation collaborative, le point d’achoppement le plus courant est celui de la propriété intellectuelle. Un grand nombre de potentielles collaborations ne démarre pas pour … Continuer la lecture →

  • Une relation de confiance au premier regard

    Dans le cadre du Lab Pareto, think do tank dont l’objectif est la création d’emplois à travers de meilleures relations grand groupe – PME, nous avons réalisé un guide à l’usage des futurs clients/fournisseurs : il s’agit de lister les grands … Continuer la lecture →

  • Les Achats peuvent être la clef pour des partenariats réussis avec les start-ups

    Les Acheteurs se trouvent de plus en plus confrontés à la nécessité d’aller au-delà des classiques, à aller chercher des nouvelles opportunités au-delà de leur panel, de leurs marchés familiers. Cela veut parfois dire qu’il leur faut se tourner vers … Continuer la lecture →

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Des COP à la RSE, la face obscure des indicateurs environnementaux en entreprise

Notre maison brûle et nous, nous passons notre temps à mesurer notre impact environnemental. Dans toutes les organisations, publiques comme privés, « ce qui ne se mesure pas, ne s’améliore pas ». La mise en place de démarches pour lutter contre le changement climatique passe donc par la mise en place de systèmes et d’indicateurs dédiés.

Certes, ces systèmes sont utiles pour structurer les démarches de développement durable et assurer leur réussite mesurable. Mais est-il bien pertinent de dédier autant d’efforts à mesurer la distance qui nous rapproche du mur ? Pour mieux les dépasser, il convient de connaître les limites de ces indicateurs et outils de suivi de la lutte contre le changement climatique.

Pour la majeure partie des organisations publiques comme privées, c’est un sujet brûlant pour répondre aux nouvelles obligations règlementaires liées au Green Deal et aux déclinaisons des COP successives ? Les objectifs de l’accord de Paris a été décliné en objectifs mesurables, en premier lieu les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES). Ceux-ci ont été déclinés au sein des pays signataires, et de l’Europe, à travers des cadres législatifs, réglementaires et normatifs.

Faire le bilan de ses émissions de gaz à effet de serre est ainsi obligatoire en France pour toute entreprise privée de plus de 500 salariés et pour la plupart des organisations publiques. Pour répondre à ces obligations en matière de climat et de développement durable – comme pour organiser les démarches spontanées – ont été mis en place de multiplies outils et systèmes de management pour éclairer les décideurs (entreprises, organisations publiques, financeurs, mais aussi politiques).

A l’échelle de l’organisation, il s’agit de réduire la complexité du problème et de sa gestion afin de réussir à se coordonner entre parties-prenantes à l’interne (achats, opérations, finance, vente, direction générale…) et à l’externe (fournisseurs, pouvoirs publics, clients, investisseurs).

Or, si ces systèmes, outils et indicateurs de RSE ont le mérite d’inciter à mettre en œuvre des démarches plus responsables, à maturité, ils présentent une face obscure. Au lieu de servir pleinement leur objectif, ils peuvent poser de nouveaux problèmes ou détourner l’attention d’aspects moins visibles du problème mais tout aussi importants.

Les effets indésirables de l’empreinte carbone

A cette échelle, l’indicateur environnemental le plus utilisé est celui de l’empreinte carbone, qui procède d’une démarche d’identification des différentes sources d’émissions de gaz à effet de serre au sein d’une organisation afin de les mesurer et les réduire.

Son calcul s’appuie sur la mesure des sources d’émission en trois périmètres :

  • Le scope 1 correspond aux émissions directes liées à la production du produit/service délivré par l’organisation.

  • Le scope 2 aux émissions indirectes liées aux consommations d’énergie nécessaire à cette production.

  • Enfin, le scope 3 regroupe toutes les autres émissions indirectes qui sont liées à toutes les autres étapes du cycle de vie du produit/service, en amont comme en aval de l’organisation.

Cartographique des SCOPES 1, 2 et 3 selon le GHG Protocol

Le bilan carbone des services achats en entreprise illustre bien ce phénomène : toute la partie amont du scope 3 correspond aux émissions des fournisseurs et des circuits d’approvisionnement, qui tombe naturellement dans l’escarcelle du service achats. Des reportings carbone sont ainsi mis en place avec les fournisseurs, voire avec les fournisseurs des fournisseurs.

Si la classification en trois scopes a l’avantage de la simplicité, elle a l’inconvénient de compartimenter les problèmes – et donc des périmètres d’action de chacun.

Au risque de passer à côté d’autres sources d’émissions transverses. Car les achats ont un rôle à jouer dans les choix des fournisseurs, des matériaux, des cahiers des charges de conception, des modes de fabrications… Ils ont donc un impact sur l’ensemble des scopes 1 et 2, mais aussi sur l’aval du scope 3, soit l’usage et la fin de vie du produit ou du service fourni.

Or, notre acheteur, en limitant son périmètre de responsabilité à la gestion de l’empreinte carbone des fournisseurs, aura tendance à ne pas considérer l’empreinte carbone totale de son achat – et en regard, ses clients internes (production, marketing, logistique, SI…) auront également tendance à faire de même.

En ne considérant pas la dimension systémique de toute question environnementale et climatique, le manager aura donc tendance à reporter ses responsabilités sur d’autres acteurs. Chacun se focalise sur « sa » partie, quantifie « ses » émissions, et favorise son optimum local sans adresser globalement la problématique.

Cette attitude peut par exemple conduire à chercher à réduire l’empreinte carbone des véhicules thermiques d’une entreprise, plutôt que de passer au vélo, car ce serait augmenter l’empreinte carbone de la catégorie achats.

Un manque d’indicateurs communs

Dans les grandes organisations – services publics, entreprises mais aussi filières industrielles – il faut pouvoir partager des indicateurs communs. Mais aujourd’hui, les données manquent. Selon le baromètre ESG et directions achats 2022 et le baromètre des achats responsables 2023, c’est le premier frein au développement de la RSE dans le service achats. 70 % des directions achats estiment ne pas disposer de données RSE suffisantes sur leurs marchés et fournisseurs.

A l’échelle globale, des indicateurs communs pour adresser le développement durable n’existent pas. Dans son rapport sur la stabilité financière de 2021 le Fond monétaire international (FMI) rapportait le manque d’une taxonomie globalement acceptée. Résultats : les notations RSE varient considérablement au sein des six grandes agences d’évaluation.

Dans les relations entre organisations (qu’elles soient privées ou publiques), la situation est la même. Dans une même filière, un client et un fournisseur n’évaluent pas de la même manière leur bilan carbone, car chacun a ses propres besoins de consolidation en interne, avec peu de référentiels communs pour les transposer à l’externe.

Un optimum local peut être trouvé en adoptant des outils de mesure à large spectre qui s’adressent à de nombreuses organisations. Toutes les organisations qui sont gérées par l’outil ont un référentiel commun. Au sein de cet ensemble, la mesure doit être homogène.

Mais il suffira qu’une seule de ces organisations appartienne à un autre ensemble qui fasse appel à un autre outil ou référentiel, voire à plusieurs d’entre-eux – un fournisseur qui travaillerait dans plusieurs filières, par exemple l’automobile et l’aéronautique – avec des clients privés et publics, de tailles et nationalités diverses… et il faudra à nouveau multiplier les évaluations pour s’adapter à chacun de ses clients.

Deux options pour l’organisation : ne conserver que des clients faisant appel au même outil, au même référentiel, ou alors admettre que les données remontées soient systématiquement faussées, comme c’est le cas pour les audits d’usine qui peuvent être faux à hauteur de plus de 50 % dans les secteurs des jouets, des articles ménagers ou des bijoux.

Des systèmes parfois contre-productifs

Les normes, systèmes de gestion et labels relatifs à la RSE ont un avantage indéniable en termes marketing et commerciaux. Ils contribuent également à structurer voire à lancer des démarches RSE dans tous les types d’organisation et dans toutes les fonctions. Ils facilitent également la constitution de preuves de conformité aux regards des lois et règlements relatifs à la RSE.

Mais leur impact réel sur la RSE peut être questionné. Pour autant la mise en place de labels ou de systèmes de gestion environnementaux, par exemple l’application de la norme ISO14001, n’aura pas toujours d’effet – voire un effet négatif – sur la performance environnementale. En effet, ils ont tendance à générer des rigidités opérationnelles dont les effets négatifs surpassent les bénéfices.

C’est un phénomène bien connu de la recherche en management : les systèmes de suivi sont rapidement dévoyés, la standardisation vient limiter la créativité et les initiatives des individus. Il est bien plus facile d’évaluer ce que l’on peut mesurer, et « lorsqu’une mesure devient un objectif, elle cesse d’être une bonne mesure ». L’atteinte des objectifs chiffrés, les cases cochées deviennent plus importantes que la réalité qu’ils sont censés décrire.

Les intérêts individuels et collectifs de l’organisation sont d’abord de répondre à la norme. Il ne s’agit pas tant de greenwashing que de comportements humains. Les systèmes de management induisent automatiquement des automatismes de décision et de comportements qui peuvent être contre-productifs.

Et cela sans compter que tout ce qui ne rentre pas dans le cadre de la norme, du système de management est autorisé.

Un espoir, des managers engagés

Mais le tableau n’est peut-être pas si noir. La connaissance des limites des systèmes et indicateurs actuels ou futurs doit au contraire permettre une vigilance accrue : ce ne sont que des outils qui doivent nous servir, et non pas l’inverse.

Les systèmes de gestion peuvent être considérés comme des points de passage pour lancer une dynamique collective. Ils doivent évoluer constamment pour accompagner la maturité de l’organisation face aux défis environnementaux. Ils permettent de mettre en mouvement, mais pas de passer à l’échelle. Cela demande ici un changement fort pour la plupart des organisations.

Le problème posé à l’occasion des COP sur le climat est le même : il ne faut pas s’enfermer dans la mesure. Car il s’agit d’être moins concentré sur les objectifs mesurables à atteindre, et davantage sur les contributions que l’on peut apporter. Les objectifs de neutralité carbone doivent rester des outils au service de la lutte contre le réchauffement climatique, au risque de pouvoir être dévoyé, au niveau des États comme au niveau des entreprises.

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

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